Je participe à ce collectif !

Pour vous inscrire au collectif et ainsi participer à l’aventure… Inscrivez-vous via ce formulaire…

N.B : Les données enregistrées ne sont utilisées que pour vous contacter… Elles sont stockées sur une interface d’hébergement personnelle (hébergeur mutualisé). Elle sont donc sécurisées le plus possible…Et difficilement “piratables”…

Cette information sera masquée du public
Obligatoire, car c'est ce qui vous identifie sur le réseau à la place de votre nom
Non obligatoire mais important pour vous mettre en relation
Sous la forme : 20, Rue Machin Bidule , 14000 CAEN
Pour vous contacter et former le réseau. Vous serez informé du lancement du collectif et des actions locales. Cette information sera masquée du public. Seul un formulaire de contact permettra de vous contacter publiquement.
Recevoir la newsletter ?

Retrouvez-nous aussi sur :

Pour info, notre page facebook a été piratée, inutile de continuer à la visiter !

Bientôt des caméras pour automatiser la vérification des vignettes Crit’air

Partagez cette page sur : 


D’après une annonce faite le mardi 25 octobre 2022 par le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, le gouvernement prévoit la mise en place progressive d’un contrôle automatisé qui permettra la mise en œuvre effective des ZFE-m (zones à faibles émissions mobilité).  « L’État travaille d’ores et déjà aux côtés des collectivités afin d’aboutir, d’ici à 2024, au déploiement du dispositif technique », révèle un communiqué officiel.  Il y aura donc bientôt des caméras automatiques, pour contrôler les vignettes crit’air.

Quelle technologie pour le contrôle automatisé des vignettes Crit’air? 

Portiques, radars ou caméras, pour l’instant, on ne connaît pas le système qui sera utilisé pour la verbalisation automatique. Christophe Béchu assure que les « caractéristiques techniques des projets retenus seront présentées lorsqu’ils seront connus ». Pour que crit’Air soit efficace, le Conseil d’État préconise une sanction immédiate, ce qui assure un dispositif crédible et dissuasif. Le conducteur n’ayant pas le droit de circuler dans une ZFEm devrait être sanctionné d’une amende de 68€ pour un véhicule léger, et de 135€ s’il s’agit d’un poids lourd, d’un bus ou d’un autocar.

Pour effectuer ce contrôle et ces verbalisations, une technologie de caméras munies d’un système de lecture automatique des plaques d’immatriculation (LAPI) est attendue. Survision, entreprise proposant des technologies de lecture de plaque d’immatriculation (LAPI) explique sur son site Internet que ce contrôle automatique pourrait être beaucoup plus efficace pour contrôler le statut du véhicule dans la base de données Crit’Air : « Outre le fait qu’un contrôle automatisé ne mobilise pas d’agents, qui ont des missions de sécurité plus impérieuses à réaliser, l’intérêt est aussi qu’il ne perturbe pas la circulation… » Une caméra LAPI, positionnée en entrée de ZFE, est en mesure de contrôler jusqu’à 10 000 véhicules par jour, un agent à pied peut, quant à lui, réaliser au mieux quelques centaines de contrôles par jour. Il est donc probable que les agglomérations aient prochainement massivement recours à la technologie LAPI pour leurs ZFE.

Avec la généralisation du contrôle automatisé des infractions, les contestations pourraient se multiplier

Alors que radars et caméras de surveillance se multiplient, le nombre d’amendes qui peuvent être contestées explose. Dans le cas de la circulation dans les zones à faible émission, des dérogations existent, ce qui risque d’augmenter le nombre de constatations des sanctions automatiques aux véhicules polluants dans les ZFE.

Comme l’explique le site d’information spécialisé Abcmoteur, des dérogations pourront être obtenues dans certaines ZFE pour les véhicules E85 homologués. Cependant, cette solution est au cas par cas ; aujourd’hui seuls Montpellier et le Grand Reims autorisent cette solution, sur les 11 ZFE actuelles, qui seront bien plus nombreuses lors de l’extension à toutes les agglomérations de plus 150 000 habitants. En prévision des erreurs d’amendes, le gouvernement a récemment lancé un site Internet qui facilite les réclamations concernant les infractions routières.





Source

RESIST CAEN
Author: RESIST CAEN

Autres articles

RESIST – NORMANDIE
Défilement vers le haut