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Information : Les médias citoyens prennent le pas sur les mainstream. Illustration avec le non-respect de la déontologie journalistique des mainstream.

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Cet aticle provient du site : www.francesoir.fr



ANALYSE : Le Monde, L’express, Le Point, Libé confondent journalisme et propagande suite à la rétractation de l’étude frauduleuse Pradelle-Lega – « Non il n’y a pas 17 000 morts de l’hydroxychloroquine ». Alors que les autres médias n’évoquent même pas la rétractation, laissant planer la pollution informationnelle.

« 16 990 morts pourraient être morts de l’hydroxychloroquine » « une estimation basse », combien de Français ont-ils été exposés à cette fausse information entre le 2 janvier 2024, date de la publication d’une étude frauduleuse et le 22 aout 2024, date de sa rétractation par le rédacteur en chef ? 

Ce 2 janvier 2024, un groupe d’enseignants chercheurs de l’Université de Lyon (dont Alexiane Pradelle, premier auteur, Sabine Mainbourg, Emmanuel Massy, Guillaume Grenet et Jean-Christophe Lega l’auteur correspondant), ainsi que Steve Provencher de l’université de Laval (Canada) publiaient une étude dans la revue scientifique Biomedecine & Pharmacotherapy appartenant au groupe Elsevier. Dès le 3 janvier 2024, le Dr Véronique Baudoux, la microbiologiste Corinne Reverbel et moi-même procédions à la réfutation cette étude avec des arguments démontrant les erreurs et ce qui s’apparente à une fraude.  Les biais étaient tellement nombreux qu’un de mes tweets stipulait « cette étude devra être rétractée comme celle du Lancet ». Le 7 janvier 2024, une lettre de préoccupation de neuf scientifiques (dont le Pr Christian Perronne et le Pr Martin Zizi ), était envoyée à l’éditeur qui ne la publiera pas. De guerre lasse, les neuf scientifiques la soumettront à AMI, une autre revue scientifique pour publication. Elle sera finalement publiée ce 30 juillet 2024 avec le titre qui ne laisse pas de place au doute : « Évaluation erronée de l’effet du traitement hospitalier – La création trompeuse de 17 000 décès et ses conséquences pour la bonne pratique médicale ». A cela s’ajoute le travail d’analyse critique d’enseignants-chercheurs comme Emmanuelle Darles et Vincent Pavan ainsi que le soutien de nombreux citoyens.

 

Dès le 2 janvier 2024, de nombreux médias, pour ne pas dire la quasi-totalité des médias, dont Le Monde, L’Express, Libé, Le Point,… publiaient cette fausse information avec la caution du Professeur Mathieu Molimard de l’université de Bordeaux. Il allait en assurer sa promotion dans les médias. Aucune précaution n’était prise par les médias promoteurs de cette fausse information, malgré les alertes de certains scientifiques, notamment sur X.  

Les Français devaient savoir, coûte que coûte, que, soi-disant, 17 000 personnes seraient mortes de la prise d’hydroxychloroquine.  Outrepassant leurs devoirs de vérifier l’information, confondant journalisme et propagande, ces médias contribuaient à la désinformation du public à grande échelle.  Idem aux États-Unis, au Brésil et dans bien des pays autour du globe.  

Un brouillard épais, de la pollution informationnelle s’abattait donc sur les esprits, ne laissant aucune place au doute, et contribuant à l’une des plus grandes désinformations de tous les temps à partir d’une étude frauduleuse d’enseignants chercheurs lyonnais.  Mais, seuls, ils n’auraient pas pu y arriver. Ils purent compter sur certains individus déguisés en journalistes, peu regardant sur l’éthique, prêt à dépasser les prérogatives et les devoirs conférés par la charte de déontologie (dite de Munich) à ceux qui exercent loyalement le métier de journaliste. Bien illustrée en presse de cour par Idriss Aberkane dans un debriefing. 

Prenons l’exemple de Géraldine Woessner, rédactrice en chef du Point. Elle dépassa allègrement la ligne rouge en écrivant sur son compte X avec quelque 100 000 abonnés que « l’hydroxychloroquine du Pr Raoult a donc causé, au minimum, 16 990 morts ».  Oui, vous avez bien lu, une journaliste sans compétence en matière de santé attribue la causalité de décès à un traitement.  Où sont les preuves ? Les auteurs de l’étude rétractée ont été plus précautionneux en expliquant que c’était une estimation ! Qu’à cela ne tienne, Géraldine Woessner va plus loin en affirmant « en toute connaissance de cause ». En d’autres mots, pour elle, le Pr Raoult aurait agi en sachant ce qu’il faisait et aurait causé ces décès sans le début de l’ombre d’une preuve. Affirmation gratuite.

Woessner n’a ni retiré son message, ni même commenté la rétractation. En conséquence, les lecteurs qui la suivent sont toujours désinformés. Elle laisse perdurer une fausse information, trompeuse, contribuant à la désinformation des 457 000 personnes qui ont lu son tweet !

En 2019, Le Point publiait et signait une tribune sur la déontologie journalistique où l’on peut lire :  « Nous ne refusons pas la critique. D’ailleurs, chacun de nos médias tente autant que possible de rendre compte à ses lecteurs de ce qu’il publie et de la façon dont il travaille. Le participatif, les médiateurs, les rencontres avec le public sont autant d’espaces dans lesquels la critique est parfois vive, toujours indispensable. Notre travail est par ailleurs encadré par des chartes de déontologie, pour la plupart d’entre nous. Nous rendons compte également devant la justice. Quiconque s’estimant diffamé peut la saisir ».

Ces mots sont-ils gratuits et vains pour Le Point et Géraldine Woessner ? Une explication s’impose : 

« Pourquoi ne respectez-vous pas le devoir numéro 6 de la charte de Munich qui vous oblige “rectifier un article quand il se révèle être erroné” et accessoirement le 1 “de dire la vérité quoi qu’il vous en coute” ». La conception du journalisme de cette personne, s’apparente plus à de la propagande en ne respectant pas les lecteurs qu’elle bloque quand ils vous signalent une information.

Blocage
Il serait intéressant de connaitre la position du directeur d’Etienne Gernelle directeur de la publication et de @valerietoranian directrice de la rédaction au Point pour savoir s’ils cautionnent cela. Les lecteurs et twitos ne sont plus dupes :

Géraldine Woessner n’était pas disponible pour commenter.

De son côté, Olivier Hertel, autre journaliste au Point, a publié un post sur LinkedIn pour défendre la rétractation de l’étude frauduleuse. Il s’est vivement fait reprendre par de nombreux médecins et scientifiques sur l’aspect propagandiste et partial de sa communication.  Dans une analyse sur X, je concluais par : 

« Votre analyse est donc parcellaire, incomplète et biaisée par une forme d’idéologie qui vous pousse à chercher tout ce que vous pouvez pour instrumentaliser l’opinion contre les traitements précoces. Vous confondez journalisme et propagande. »

Olivier Hertel n’en est pas à son coup d’essai. En effet, en février 2024, il s’était fendu d’un publi reportage à la gloire des auteurs de l’étude frauduleuse, aujourd’hui rétractée. Ce publireportage n’avait comme but unique que de mettre en œuvre les biais de sélections et de pratiquer l’inversion accusatoire en s’essayant à expliquer « comment médecins et scientifiques sont ciblés par un groupuscule pro-Raoult ».

Pas plus tard qu’hier, Olivier Hertel confirmait sa contribution à la pollution de l’information en republiant un tweet de @mathieuMollimard avec le commentaire suivant : « La véritable erreur de l’étude des 17 000 morts de l’HCQ qu’un groupuscule d’antivax a réussi à faire rétracter, c’est qu’elle sous-estimait le véritable nombre de morts de l’HCQ pendant le Covid. » Il persiste et signe dans la propagande et la pollution informationnelle, ce que je ne manquais pas de lui faire observer dans un post détaillé :

@OlivierHertel confirme son rang de pollueur d’information et de désinformateur criminel.

  • Il omet de mentionner que 9 lettres de préoccupations ont été envoyées à la revue.
  • Qu’une des lettres de 9 scientifiques indépendants a été publiée dans une revue à comité de lecture dont le titre est : « Évaluation erronée de l’effet du traitement hospitalier – La création trompeuse de 17 000 décès et ses conséquences pour la bonne pratique médicale »».

En ce faisant, il contribue à la désinformation des lecteurs du Point, il démontre que son objectif n’est pas d’informer loyalement les lecteurs mais de contribuer à une attaque idéologique contre un traitement qui aurait pu sauver de nombreuses vies. – se rend complice des auteurs et acolytes de désinformation. Et qu’il se contrefiche de la charte de déontologie journalistique.

Je me permettais de conclure : « La pollution d’information de cet acabit peut tuer » .

Voilà pour le Point qui a visiblement rangé la charte de Munich au rang des oubliettes.

Libé jamais le dernier dans la course à la pollution informationnelle

Libé était le premier à ouvrir le bal de la désinformation avec un article non signé de leur service Checknews montrant la voie aux autres vestiges de l’information que sont devenus les médias mainstreams hautement subventionnés avec près de 390 millions en 2023.  Libé a touché de  6.3 millions d’euros de subventions ! 
Dès le 29 aout à 13 h 58, soit quelques jours après la rétraction, @libe et @CheckNewsfr suscitent la controverse. 

Ils « réécrivent l’histoire en travestissant l’historique de l’étude frauduleuse rétractée, en omettant des éléments importants. »

Libe désinforme

Le degré de pollution informationnelle est tellement important que deux heures suffirent pour effectuer la réfutation. Cela confirme que Libé n’a plus d’un journal que le papier sur lequel il est écrit, son contenu étant trop souvent biaisé idéologiquement, élevant ainsi la propagande au rang d’art. Une des raisons pour ne pas signer l’article du nom d’un journaliste. Qui oserait signer de son nom un tel papier ?

L’Express, un train destination désinformation

L’express fut le second média mainstream à évoquer la rétractation. Antoine Beau s’essaya à trouver des excuses à l’étude frauduleuse !  Ce dernier écrivit : « Le retrait d’une étude estimant à 17 000 le nombre de victimes de l’hydroxychloroquine, utilisée à tort contre la covid-19, suscite de vives inquiétudes chez les scientifiques ». Son article contenait de nombreuses omissions analysées et décrites dans un long post sur X. En reprenant, point par point, les biais de l’article de Beau, on arrive à la conclusion que : 

« @lexpress n’est plus un média, mais un train de désinformation et propagande conduit dans cet article par @beauantoine L’esprit critique est plus présent au café du commerce. »

Pollueur

L’Express a perçu en 2023 1.4 million de subventions !

Lors de la publication de l’Express, une analyse de la portée de leur message permettait de mesurer l’impact relatif à la réfutation effectuée. Quelque 36 heures après la publication, l’Express qui compte 1.462 millions d’abonnées sur X, affichait 151 000 vues (10 % des abonnées), 271 (0,18 %) « likes » et 142 (0,09 %) retweets. À titre de comparaison, le petit compte @xazalbert avec seulement 63 000 abonnées présentait 888 likes et 510 retweets.  Soit à peu près 10 fois plus que l’Express. La question de l’usage des fonds publics se pose réellement ! À la date de cet article, les chiffres n’ont pas évolué.

En outre, hier, le directeur de l’Express, Alain Weill, Victor Garcia et Alix l’Hospital ont été mis en examen pour diffamation envers Idriss Aberkane.  Ces deux journalistes ayant contribué à désinformer et étant des habitués des méthodes de ” character assassination ” visant à affecter la réputation d’un individu ou d’un organisme. D’autres aspects de la pollution informationnelle.

Le Monde Science – même le titre est trompeur

Le Monde et Hervé Morin rentrent dans la danse avec un article trompeur dès son titre : « covid-19 : la polémique sur les décès liés à l’hydroxychloroquine rebondit » que les choses se précisent. 

La compétition pour le prix du plus grand pollueur informationnel est lancée : @lemondefr après l’Express et Libe, relève donc le défi de celui qui contribuera le plus à la désinformation. 

Entre omissions volontaires, mensonges, des témoins qui ne sont pas repris, absence de contradicteurs, tous les ingrédients du récit réécrit sont mis en œuvre. Cela dans l’optique d’éviter de parler de l’approche fausse et frauduleuse d’une estimation qui aura contribué à désinformer le public français du Monde. Cela commence par l’invisibilisation du premièr auteur de l’article rétractée. Alexiane Pradelle disparait du casting pour laisser sa place à Jean-Christophe Lega auparavant dernier auteur et correspondant ! Hervé Morin n’hésite pas non plus à faire fallacieusement mention de harcèlement et de pression sur la revue comme motif de rétractation sans au préalable demander à la publication ! Interrogée par mes soins, la revue confirmera n’avoir fait l’objet d’aucune préssion.

Beuve Mery doit se retourner dans sa tombe à la lecture de ce travail qui confirme la mutation du Monde en un média propagandiste. Serait-ce sous l’influence des dons de la bienfaisante Fondation Bill et Melinda Gates ainsi que des 8.4 millions d’euros d’aide du gouvernement ?

Une analyse de l’impact de l’article du Monde valide la perte de valeur de leur parole. Dans la planète Le monde de la désinformation, après 27 heures de publications, les métriques étaient bien plus faibles que celles de l’Express.  Pour le Monde, 56 000 vues, 39 likes et 25 retweets contre 20 600 vues pour @xazalbert 362 likes et 2021 retweets ! 22 à 25 fois plus que Le monde Science ! Des métriques inchangées à la date de publication de l’article.

Mutations des médias

Cependant, on peut remercier ces médias d’avoir permis de mettre au grand jour leur transformation dans une mouvance woke informationnelle où tout est permis, y compris la trahison ou travestissement de l’éthique journalistique.  Saluons néanmoins la RTBF et les médias suisses qui ont évoqué la rétractation d’une manière un tant soit peu plus objectives. 

Au concours de la désinformation, Le Monde, Le Point, L’Express et Libé se valent, et, côté presse écrite, officient en première division. Les médias télévisés, qui avaient donné tribune libre à Mathieu Molimard sans contradicteurs lors de la publication de cette étude frauduleuse, s’illustrent par une absence totale de respect de la charte de Munich en n’évoquant pas cette rétractation importante

Les Français peuvent uniquement leur remercier de respecter leur degré de pollution informationnelle, malgré les déclarations sur l’éthique et la déontologie journalistique ainsi que les subventions à millions avec leurs deniers.  Un véritable tournant a été pris dans l’information en France. 

Ce n’est plus dire la vérité quoiqu’il en coute qui prévaut, mais dire ce qui contribuera le plus à la protection du pré carré des acteurs des médias.  Cependant, l’histoire n’est pas finie, car les plaintes pénales se profilent et la pollution informationnelle de ses médias entrainent des pertes de chance de nombreuses personnes au-delà des frontières.  

Le journalisme citoyen, participatif et collaboratif est le grand gagnant de la guerre de l’information dans le cœur des Français. Saluons Idriss Aberkane, Nicolas Vidal, Tocsin, Amélie Debey, Didier Maïsto, Le média en 4-4-2, GPTv, Radio Courtoisie, Le Monde Moderne, France-Soir… Ainsi que tous ceux que j’oublie qui œuvrent quotidiennement afin que la liberté d’expression soit bien défendue quoi qu’il en coute.

La pollution de l’information est donc substantielle et assurée par les subventions. En 2023, un article abordait le sujet de la pollution informationnelle en suggérant une application de la loi pollueur payeur en vigueur pour la pollution environnementale. Il faisait suite à une analyse sur le cours de l’information qui fait l’objet de nombreuses manipulations et délits d’initiés.  

Ne devient-il donc pas essentiel, à la lumière de ce qui précède, de considérer faire une application de la loi pollueur payeur à l’information dans une version adaptée des propos de l’ancien premier ministre Gabriel Attal ?

« Tu salies, tu nettoies

Tu casses, tu répares,

Tu pollues l’information, tu paies pour la dépollution ».

À bon entendeur. 





boillot
Author: boillot

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