À travers cette étude, les chercheurs ont pu identifier 55 espèces bactériennes qui différaient significativement entre les patients, les témoins non infectés et les personnes déjà guéries. Ils ont aussi constaté une corrélation entre l’utilisation d’antibiotiques et la richesse en espèces chez les malades du Covid-19.
En somme, cette étude a révélé que le Covid-19 grave peut générer une dysbiose du microbiote intestinal. Il peut aussi réduire, voire même épuiser, les bactéries commensales et l’utilisation d’antibiotiques ne fait que renforcer ce phénomène. Grâce à cette étude, on pourrait penser au développement de probiotiques pour traiter le Covid-19.