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Les paysans camerounais dénoncent l’accaparement des terres de plantation par Vincent Bolloré

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La Synergie nationale des paysans et riverains du Cameroun (Synaparcam) est vent debout contre la Société camerounaise des palmeraies (Socapalm). L’association l’a exprimé au cours d’une conférence de presse le 4 novembre dernier à Douala. Elle a égrené un chapelet de revendications et appelle l’État au secours dans les différends qui l’opposent à cette entreprise.


En effet, la Socapalm a été privatisée en 2000, suite à un bail emphytéotique sur une superficie de 78 529 ha pour une durée de 60 ans. En 2005, un avenant au bail a été effectué ramenant la contenance superficielle des terres rurales de Socapalm à 58 063 ha. Pour le village de Mbonjo dans le Moungo par exemple, les terrains maintenus dans le bail passaient de 1190 ha à 1025 ha, ce qui correspond à une libération de 165 ha de terres. Privatisée au sein de la Socfin-Bolloré, la Socapalm comporte aujourd’hui sept plantations dans la région du Littoral : Dibombari, Mbongo, Mbambou, Dizangue, Edéa, Kribi et Eséka.

La Synaparcam déplore que depuis le rachat de Socapalm par Socfin, les conflits avec les communautés locales sont nombreux et n’ont cessé de s’amplifier avec l’accaparement des terres. S’ajoute, selon Emmanuel Elong, le président national de Synaparcam et les autres riverains des plantations de Socapalm, le problème des sites sacrés enfouis sous les palmiers.

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NDLR : Sur son site, la Socfin s’affiche entreprise « responsable » et assure respecter le consentement libre, informé et préalable des populations autochtones, ainsi que leurs droits traditionnels d’accès aux parcelles pour la chasse, la cueillette et les coutumes et cérémonies religieuses et culturelles. La réalité ne semble pas correspondre à ces excellentes intentions.



Source

RESIST CAEN
Author: RESIST CAEN

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