
« Si un homme identifié trans utilise des toilettes pour femmes, c’est un acte violent et abusif. Il faut faire une scène, appeler la police et si rien ne marche, le frapper dans les couilles ».
Le tweet de Graham Linehan
La chasse aux sorcières 2.0
Sous le fallacieux prétexte d’« incitation à la violence », les thought police britanniques ont donc déployé un dispositif anti-terroriste pour coffrer un humoriste. Son forfait ? Avoir suggéré, de manière certes provocatrice, que les femmes pouvaient se défendre face à l’intrusion d’hommes dans leurs espaces privés. Le message, bien que rugueux, pointait une préoccupation légitime sur la sécurité des femmes, un débat interdit en régime woke.
La police britannique vient d’arrêter un humoriste américain, à son arrivée à l’aéroport.
5 officiers armés.
Pour un tweet.
Le tweet, c’était « si un homme identifié trans utilise des toilettes pour femmes, c’est un acte violent et abusif. Il faut faire une scène, appeler la… pic.twitter.com/3QIiBEzVA5— Momotchi (@mmtchi) September 3, 2025
Priorités policières : le wokeisme comme boussole
Pendant ce temps, des « vrais criminels » courent toujours, mais la nouvelle gendarmerie du genre veille au grain. Cette arrestation spectaculaire pour un simple post sur les réseaux sociaux en dit long sur la déroute des priorités judiciaires occidentales. On ne s’étonnera plus de voir la police britannique négocier avec des émeutiers pour ne pas les froisser, tout en pourchassant avec zèle ceux qui s’opposent verbalement à l’idéologie du moment.
La liberté d’expression aux arrêts
Cette pantalonnade judiciaire pose une question essentielle : peut-on encore défendre les femmes sans risquer le garde-à-vue ? Apparemment non, si cette défense contredit le catéchisme progressiste. Le Royaume-Uni, sous couvert de « sécurité en ligne », instaure un régime de terreur intellectuelle où le seul crime est de déplaire. Un signal terrifiant pour quiconque croit encore au débat d’idées.
Chères lectrices, chers lecteurs,
Soyez acteur du changement en soutenant un journalisme véritablement indépendant et de qualité en vous abonnant à notre média financé par les dons de personnes comme vous.
Accédez à des contenus exclusifs et soutenez notre indépendance










