
Cette offensive technocratique, évoquée par François Asselineau, illustre la logique implacable de l’euro. Alors que 22% des Français sont à découvert avant la fin du mois, Bruxelles choisit de resserrer l’étau financier sur les ménages, accélérant l’appauvrissement structurel de la nation. Le « parapluie » du découvert, déjà onéreux, sera retiré au moment où la tempête économique frappe le plus durement.
Cette mesure, loin d’être anodine, s’inscrit dans une funeste trajectoire : tant que la France restera captive de l’euro, son niveau de vie continuera inéluctablement de s’effondrer. Les banques, en prêteuses peu philanthropes, suivent la doctrine et préparent un sinistre social considérable pour 2026, avec la complicité lâche de la macronie et de l’abstention coupable du Rassemblement national. La catastrophe n’est pas à venir ; elle est en marche, ici et maintenant.
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