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Ces éléments rappellent que le simple bon sens imposait et impose encore d’appliquer à l’ARN Messager le principe de précaution. Il ne s’agit pas de défiance vis-à-vis du pouvoir, mais de simple prudence comme pour tous les produits pharmaceutiques nouveaux. 

L’analyse bénéfice-risque

Comme pour tous les produits pharmaceutiques, pour tous les vaccins, pour tous les traitements, l’analyse bénéfice-risque doit être au coeur du choix thérapeutique : statistiquement, le patient court-il plus de risques en ingérant ou en recevant un traitement qu’en ne le recevant pas ?

Là encore, les adeptes de la vaccinolatrie ont systématiquement refusé que cette question soit posée rationnellement, au profit d’une doctrine autoritaire dont les déterminants seront un jour éclairés par l’histoire, tant cette doctrine est suspecte. 

Ainsi, les chiffres de la mortalité connus dès la fin de 2020 ont montré que la mortalité des moins de 40 ans a diminué cette année-là, malgré les pics de COVID. Les chiffres de l’INSEE que nous citons montrent que la mortalité des moins de 40 ans a augmenté depuis les campagnes de vaccination, atteignant des niveaux jamais atteint auparavant. 

Début 2021, lorsque la campagne de vaccination a commencé, le bon sens rationnel aurait voulu que les pouvoirs publics limitent la vaccination aux personnes vulnérables, le bénéfice-risque pour les autres catégories de la population étant discutable et difficile à établir. 

Une chappe de plomb pèse aujourd’hui sur l’ampleur des désastres : ces sportifs de haut niveau qui s’effondrent en plein match ou en pleine compétition, ces AVC, ces thromboses, ces myocardites qui frappent des jeunes gens sans antécédent et en pleine forme, ces cancers virulents et atypiques qui apparaissent soudain, sont tus le plus possible par le cartel des médias subventionnés. Là aussi l’histoire condamnera tôt ou tard ceux qui nient les évidences. 

Mais, par une étrangeté qui reste encore difficile à expliquer, tous ces débats rationnels ont été condamnés avec une virulence inouïe, sous le prétexte qu’ils étaient le fait des “complotistes”. Et des miliciens de cette propagande moderne comme Tristan Mendès-France ont méticuleusement fiché, dénoncé et envoyé dans les camps de la mort sociale ceux qui revendiquaient simplement l’usage de leur propre raison. 

Propagande sectaire et conflits d’intérêt

Les raisons pour lesquelles l’irrationalité en blouses blanches a d’emblée pris le pouvoir, nous en connaissons l’essentiel. 

Après la pandémie ratée de H1N1 en 2009, brillamment analysée par le Sénat à l’époque, nous savons que Bill Gates s’est donné les moyens de ne pas manquer la pandémie suivante. Il a mené campagne pour la fabrication de vaccins en 300 jours, pour la vaccination mondiale, puis a créé le GAVI, l’Alliance Mondiale pour le Vaccin, grâce à laquelle il a infiltré la plupart des pouvoirs publics. Sa Fondation est devenue la principale financeuse de l’OMS, et sa collaboration étroite avec le Forum Economique Mondiale, notamment pour créer le CEPI, chargé de fabriquer des vaccins contre les SRAS. Rappelons que la CEPI fut créé à Davos avec le soutien du prince héritier de Norvège, Young Global Leader…

Nous sommes ici au coeur des liens d’intérêt entre les laboratoires pharmaceutiques et les pouvoirs publics, tels que le capitalisme financier de connivence les a industrialisés. Tout cela est public, et largement documenté pour peu que l’on s’y intéresse. 

La déclinaison de ces liens d’intérêt est elle aussi parfaitement évidente. 

D’abord, les laboratoires pharmaceutiques ont largement soudoyé les fameux médecins de plateau que les chaînes d’information ont passé en boucle pour défendre les préceptes de la nouvelle religion vaccinale. Jamais une propagande aussi intense n’avait eu lieu, avec des médecins désormais bien connus pour avoir reçu de l’argent des laboratoires qu’ils défendaient devant les caméras au nom d’une médecine désintéressée.  

Ensuite, le cartel des médias subventionnés a fait son oeuvre. On a brutalement compris pourquoi des milliardaires comme Bernard Arnault avaient concentré la presse entre quelques mains. Rappelons ici qu’Arnault a soutenu Biden en même temps que la patron de Johnson & Johnson, à qui Biden a commandé des centaines de millions de vaccins après son élection… Comme par hasard, c’est le Parisien d’Arnault qui publiera la déclaration de Macron annonçant qu’il voulait “emmerder” les non-vaccinés. 

Psychologie sociale

Mais tout cela n’aurait probablement pas suffi à faire admettre un vaccin incertain à une majorité, si les pouvoirs publics ne s’étaient pas appuyé sur une industrialisation de la psychologie sociale, à grand renforts de manipulation des masses. 

Trois techniques essentielles ont été mobilisées pour hypnotiser l’esprit critique et la rationalité dans notre société. 

La première technique a consisté à recourir à la “social proof”, la preuve sociale, devenue levier majeur de la culture Internet. La preuve sociale consiste à faire recommander un produit par une personnalité de confiance. C’est la fameuse histoire des publicités pour les dentifrices vendues par des acteurs portant une blouse blanche, qui vous expliquent que grâce à ce dentifrice, vous n’aurez pas de caries. La blouse blanche inspire confiance. Ce système enfantin et connu de longue date a bénéficié d’une industrialisation intense durant toute la crise du COVID (pour céder la place, quelques mois plus tard, à des généraux en costume qui dénoncent la Russie selon les mêmes ficelles). 

La deuxième technique est le pendant de la première : elle a consisté à discréditer tous les opposants. On se souvient ici de la virulente campagne menée contre Didier Raoult, accusé d’être un imposteur, un harceleur, moral et sexuel, un menteur. La création du camp virtuel pour complotistes a permis de réserver un traitement de ce type à tous ceux qui résistaient. Les fact-checkers ont largement servi à ces campagnes de discrédit systématique. 

La troisième technique a reposé sur le principe de cohérence : au lieu de rendre le vaccin obligatoire (ce qui aurait posé des problèmes de responsabilité pénale s’agissant d’un produit sous autorisation conditionnelle), le recours à la responsabilité individuelle (je me vaccine librement pour sauver le groupe, faisait croire la propagande) a permis de piéger de nombreux personnes qui avaient peur de mourir. Le pouvoir leur a fait dire publiquement : j’aime le vaccin, rendant difficile tout retour en arrière. 

C’est le principe de cohérence très bien décrit par Cialdini

Bien entendu, de nombreuses autres techniques de psychologie sociale ont été mobilisées dans la gestion de la crise sanitaire, mais il me paraît important d’en décrire les trois piliers essentiels. 

Mendès-France et populisme

Dans la pratique, il faut souligner un point essentiel qui domine tous les autres : les Mendès-France et autres ont utilisé la peur, principe de base du populisme, pour faire admettre la violation systématique des libertés. 

La peur de mourir d’abord : que n’a-t-on fait avaler aux Français en leur expliquant à tout bout de champ que la mort les guettait s’ils n’obéissaient pas aux injonctions, souvent fluctuantes dans le temps, en matière de COVID ?

La peur d’être diffamé ensuite : l’accusation de complotisme a été utilisée de manière systématique pour faire taire tous ceux qui doutaient. 

Au final, ces commissaires politiques ont transformé le débat sur le vaccin en un débat sur le régime politique. Voulez-vous vivre dans la peur permanente (de mourir, d’être dénoncé, de subir une guerre nucléaire, etc.) ou voulez-vous vivre libre ?





Source

RESIST CAEN
Author: RESIST CAEN

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