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“Des brigades d’intervention rapide sont allées dans les Ehpad pour injecter le Rivotril”

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Lors d’un entretien avec Epoch Times France, Pierre Chaillot s’est exprimé sur la polémique liée à l’usage du Rivotril – une molécule médicamenteuse de la classe des benzodiazépines – dans le cadre de protocoles de soins palliatifs, notamment dans les Ehpad. « Le scandale n’est pas tant lié à la molécule en elle-même, mais plutôt au protocole. C’est ce qu’ils ont appelé le protocole palliatif covid. C’est un protocole qui n’a pas lieu qu’en France, et qui a consisté à dire : il y a un virus mortel qui circule et quand les personnes âgées l’ont, on ne peut pas les soigner, et en plus elles sont dangereuses pour les autres parce qu’elles vont contaminer leurs voisins. Donc, il faut les isoler et les mettre en protocole palliatif. » « La molécule utilisée par la plupart des autres pays a été le Midazolam et on s’est retrouvé en situation de pénurie. Il y a eu un décret spécifique en France pour pouvoir utiliser le Rivotril », ajoute Pierre Chaillot. « C’est à partir du moment où l’on prend cette décision que l’on a une forte augmentation de la mortalité, en particulier des personnes âgées dans les Ehpad.  Cette prise de décision est un vrai scandale. Comment peut-on affirmer d’emblée que les personnes ne se sortiront pas d’une quelconque pathologie et faire peur à tout le monde pour dévoyer le système de soins palliatifs sans tenter autre chose ? »

Selon Pierre Chaillot, les mesures prises par les pouvoirs publics dans le cadre de la crise sanitaire s’apparentent d’ailleurs à une gigantesque « expérience de Milgram ». « On a vécu un niveau d’absurdité phénoménal. On a forcé les gens à fliquer leur voisins pour savoir s’ils étaient vaccinés. Tout le monde a joué le jeu. Les gens ont participé de manière volontaire à cette expérience. » Et Pierre Chaillot de conclure : « Quelle que soit l’expérience que l’on met en place, il y a toujours un nombre significatif de personnes qui ne se laissent pas avoir, à peu près autour de 5 %. On a bien vu que ça n’avait aucun rapport avec le niveau d’éducation des gens. De grands chercheurs se sont rebellés, et puis il y a eu aussi des gens pleins de bon sens, quel que soit le niveau de diplôme. »

« Il ne faut pas se laisser faire. Il faut continuer à donner de l’information, refuser les choses quand elles sont complètement stupides, ne pas compter sur la totalité de la masse des gens pour s’investir à sa place, il faut le faire personnellement, fermement, sans s’arrêter. C’est nécessaire et ça suffit à ne pas tomber dans la dérive totale. »

Le Média en 4-4-2.



Source

RESIST CAEN
Author: RESIST CAEN

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