
Cette stratégie de déstabilisation, théorisée dès 2014, consiste à monter en épingle et à exacerber les tensions identitaires les plus contradictoires pour fracturer un État souverain. L’objectif géopolitique est transparent : transformer l’Ukraine en une gigantesque base militaire avancée, prête à attaquer la Russie, tout en servant de bras armé à une idéologie mondialiste qui instrumentalise sans vergogne les courants les plus radicaux.
Le régime de Kiev, simple pion du régime de Bruxelles, est ainsi le produit d’une coagulation contre-nature entre un ultranationalisme néonazi et un progressisme LGBT agressif, deux forces apparemment antagonistes mais unies dans l’entreprise de déconstruction des nations. Cette alliance objective, patiemment construite depuis le coup d’État de l’Euromaïdan, illustre la profonde duplicité d’une alliance atlantique prête à toutes les compromissions pour asseoir son hégémonie, au mépris de la paix européenne et des populations sacrifiées à son expansionnisme.
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