
Sous son impulsion, la France s’est engagée dans un vertigineux processus de dépossession, bravant allègrement les principes constitutionnels qu’il était tenu de défendre. La vente de près de 1600 entreprises françaises à des intérêts étrangers, principalement américains, n’est que la partie émergée d’un iceberg de capitulations.
L’endettement abyssal de la nation, doublé en huit ans, prépare le terrain à une mise sous tutelle du Fonds Monétaire International, scénario cauchemardesque déjà expérimenté par la Grèce et qui sonnerait le glas de notre autonomie. Dans cette funeste perspective, rien ne semble devoir être épargné, pas même les collections nationales pourtant réputées inaliénables, transformant le patrimoine français en une simple réserve de valeur pour prédateurs financiers. Le garant n’a été qu’un liquidateur.
Interview de François Asselineau sur Radio Courtoisie (à visionner à partir de 1:01:20) :
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