Les origines du Covid-19 sont toujours dissimulées par le Parti communiste chinois. Mais suite à de nombreuses interrogations scientifiques , la thèse d’une origine accidentelle n’est plus un tabou. Comme le prix Nobel français de médecine Luc Montagnier ou le Pr Tritto, les voix scientifiques se sont multipliées, et commencent à contredire la version officielle du gouvernement chinois, entretenue avec la complicité des gouvernements et des organisations internationales.
On commence à parler d’un virus fabriqué en laboratoire. Ce qui est assez étrange, c’est le manque d’intérêt des scientifiques occidentaux face à ces données. Au début de l’année 2020, on a même essayé de clôturer le débat à deux reprises.
Le Dr Peter Daszac, a souhaité valider la thèse de la zoonose sans preuve. 27 scientifiques, dont Dr Peter Daszac, avaient publié une lettre dans The Lancet. Ils ont “condamné fermement les théories du complot suggérant que le Covid-19 n’est pas d’origine naturelle”. Cependant, il y a eu conflit d’intérêts dans la mesure où 26 des 27 scientifiques ont un lien avec le laboratoire de Wuhan.
Peter Daszak était un proche d’Anthony Fauci, conseiller du président américain sur la gestion du Covid. Il est également président d’Ecohealth, ONG par laquelle ont transité des financements américains pour développer les gains de fonction des coronavirus au laboratoire de virologie de Wuhan. Ce spécialiste des zoonoses, a-t-il cherché à dissimuler le rôle de son ONG et des autorités chinoises dans l’apparition du virus ?
Par ailleurs, toujours pour écarter la piste d’un virus sorti de laboratoire , le 17 mars 2020, 5 autres scientifiques ont publié un article intitulé « Proximal origin » dans Nature Medicine. Le rapport a éliminé également la possibilité d’une fuite en laboratoire. L’étude a mis en évidence les arguments en faveur de la thèse de la zoonose. Mais il s’est révélé par la suite que ces scientifiques avaient également collaboré avec le Dr Anthony Fauci du NIAID et le Dr Jeremy Farrar, directeur du Wellcome Trust qui finance la recherche et la production de vaccins contre le Covid.
Le podcaster Megyn Kelly a exprimé son incompréhension lors d’une récente interview avec le virologue Robert Garry. Elle a déclaré : « Je suis préoccupée par votre manque de curiosité ! ». L’origine du Covid n’a fait l’objet d’aucun débat aux Académies nationales américaines ou à la Royal Society britannique. En outre, les financements pour des recherches universitaires restent quasiment faibles.
Megyn Kelly a ajouté que les évaluateurs par les pairs ont fait en sorte que les critiques soient dissimulées et elles n’ont jamais été publiées dans les célèbres revues.
Pour Megyn Kelly, l’hypothèse d’une zoonose a été largement avancée, sans preuve, mais à coup de publications journalistiques et de documentaires médiatiques. Une sorte de « contrôle » utilisée dans le domaine scientifique afin de mettre fin aux débats controversés.
Par ailleurs, avec l’évolution de la technologie biomédicale, il est presque difficile de croire qu’après trois ans, l’origine du Covid-19 reste encore inconnue. Or, pour les autres épidémies comme le SRAS, le MERS, le Hanta ou encore le virus Marburg, il a été possible de retracer la date, le lieu et la rencontre du patient zéro avec une espèce animale qui est supposée être le vecteur du virus.
Comme déjà évoqué dans un article précédent d’une enquête de la commission du renseignement du Sénat américain sur les origines du Covid, le Congrès américain a annoncé son intention d’organiser des auditions durant lesquelles, des scientifiques ayant collaboré avec des collègues à Wuhan vont comparaître, ils vont faire des révélations sur l’origine du Covid-19.
