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Epstein éclabousse les banques JPMorgan, Barclays, Deutsche Bank, qui ont couvert et profité des trafics sexuels

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Le millionnaire Jeffrey Epstein ne possédait rien au début de sa carrière de professeur sans diplôme. Ses parents, Pauline (née Stolofsky, 1918-2004) et Seymour G. Epstein (1916-1991) n’avaient pas un sou. Pauline était assistante scolaire, Seymour gardien et jardinier dans les parcs de New York. Aussi Jeffrey s’est-il enrichi grâce aux banques en faisant office d’homme de paille. Il commence à la banque Bear Stearns, puis devient le protégé de Leslie H. Wexner, qui exploite la marque Victoria’s Secret.


Depuis le début de l’affaire Epstein, les noms de clients circulent, mais à présent ceux des banques apparaissent en pleine lumière. Tout d’abord la banque britannique Barclays, dont le patron, Jes Staley, démissionne. Ensuite c’est au tour de Deutsche Bank et JPMorgan, d’être accusées d’avoir bénéficié financièrement du trafic sexuel de Jeffrey Epstein. Deutsche Bank devra verser une amende de 150 millions de dollars pour ne pas avoir été suffisamment vigilante dans ses relations avec Jeffrey Epstein ainsi qu’avec des banques étrangères soupçonnées de blanchiment. JP Morgan et ses employés savaient qu’ils facilitaient le complot d’abus sexuels et de trafic sexuel d’Epstein pour recruter, attirer, héberger, transporter, fournir, obtenir et entretenir des jeunes femmes et des filles mineures pour qu’elles se livrent, forcées, à des actes sexuels rémunérés.

Les îles Vierges accusent JPMorgan Chase & Co. d’avoir sciemment et illégalement, fourni et actionné les leviers par lesquels les recruteurs et les victimes de Jeffrey Epstein ont été payés, ce qui a été indispensable au bon fonctionnement et à la dissimulation du trafic sexuel. La procureure générale de l’U.S. Virgin Islands, Denise George, allègue que la banque était au courant — dans le cadre de ses procédures anti-blanchiment d’argent — des activités illégales d’Epstein. La banque aurait dû signaler ces activités aux autorités. La procureure générale accuse la banque d’avoir fermé les yeux sur les opérations de trafic sexuel qui se sont déroulées sur l’île privée d’Epstein, Little St James.

Les actionnaires majoritaires de JP Morgan sont Vanguard, BlackRock et State Street. Ceux de Deutsche Bank sont des fonds de pension et… Vanguard, bien sûr. Barclays a pour actionnaires le Crédit suisse (qui est en train de faire faillite), le Qatar, Vanguard et BlackRock et Cie.

Malgré les « suicides » de Jeffrey Epstein et de Jean-Luc Brunel, Elon Musk demande à ce que la liste des clients de Jeffrey Epstein soit publiée. Osera-t-il également s’attaquer aux banques ? Il a déclaré à deux reprises n’avoir aucune pensée suicidaire. C’est sûrement au cas où…

Marcel sur Epstein/Maxwell, Clinton, Bill Gates… l’Etat Profond !

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Source

RESIST CAEN
Author: RESIST CAEN

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