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Source : ripostelaique.com – 26 octobre 2022 – Anatoly Livry
https://ripostelaique.com/la-lolita-de-nabokov-et-le-meurtre-de-lola.html
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Une petite fille blanche, Lola Daviet, a été violée, torturée puis assassinée à Paris par une personne originaire d’Afrique légalement expulsable de France. Malgré l’atrocité du crime, aucune équipe sportive occidentale ne mettra un genou à terre en l’honneur de cette fillette de 12 ans comme cela s’était fait en mémoire de George Floyd, bandit professionnel, faux-monnayeur et trafiquant de drogue notoire. Pourquoi ? Parce que le racisme anti-Blancs est une forme de haine raciale systémique en Occident, comme je le décris dans mon livre russe sur lequel une chappe de plomb s’est abattue en France, bien que tout un chapitre soit justement consacré à l’idéologie républicaine remplaciste prônant l’extermination structurelle des enfants français de souche : Dr Anatoly Livry, Le Racisme systémique anti-Blancs ou l’Holocauste des peuples blancs – Entretien avec le Dr Anatoly Livry, Le Harfang, Drummondville (Québec), automne 2022, p. 9-11, http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/livry-harfang.pdf.
Cet article ne sera pas consacré au racisme institutionnalisé anti-Blancs régnant en Occident : cela serait d’une banalité inutile étant donné là où nous en sommes. Je m’efforcerai en revanche d’analyser l’origine probable de ce meurtre ainsi que les réactions bornées des droites qui traitent la mémoire de cette fillette comme un sujet de gala, quand l’on se présente devant les caméras escortés de larbins qui applaudissent cette sortie médiatique comme un signe de courage extrême. Alors qu’en somme ce meurtre pourrait être considéré comme ayant été commandité jusque dans ses moindres détails pour justement détourner l’attention du peuple des sujets majeurs liés à l’effondrement énergique et étatique de l’Europe.
La première question que je me pose : que ferait le système génocidaire envers les peuples blancs si les droites françaises s’unissaient pour préserver leur pays de l’extermination avec la même ardeur que celle que met son establishment à en organiser le suicide ? Pour ces droites françaises, il ne devrait y avoir qu’une seule cause : sauver cette France dégringolant vers l’âge des cavernes à une vitesse inouïe (catastrophe énergétique, engagement en faveur d’un État fantoche tel que l’Ukraine, marasme éducatif des pseudo-élites françaises ayant normalisé la forfaiture par la niaiserie ainsi que décrit dans l’un de mes derniers articles français : https://ripostelaique.com/la-droite-francaise-cette-passivite-cerebrale-invincible.html). Ainsi, ces droites françaises devraient se réunir pour exiger la condamnation pénale des politiciens français qui ont permis la guerre en Ukraine par le non-respect des accords de Minsk (https://ripostelaique.com/macron-et-sa-diplomatie-genocidaire-pour-les-slaves.html), tout comme elles devraient pousser l’Union européenne à s’allier à la République fédérale de Russie pour lancer un procès contre le régime de Kiev qui martyrise ses populations depuis 2014 (avec notamment l’extermination de dizaines de petites Lola au Donbass). Voilà quelques prises de position publiques qui auraient pu permettre à la France et à l’Europe d’empêcher leurs finances, leurs entreprises, leurs cerveaux de fuir vers ces États-Unis qui mènent une guerre contre l’Occident et la civilisation blanche – car ce n’est plus la génération de Joe Biden mais celle de Kamala Harris et de ses semblables qui récupérera les forces vives européennes manipulées avec la complicité de ces droites françaises victimes de la sélection cérébrale opérée par des cadres universitaires trotskistes depuis la « Libération » : https://www.geopolitika.ru/fr/article/luniversite-francaise-temple-du-trotskisme-genocidaire.
Ces quelques actes d’engagement auraient pu être assumés par la droite et apporter des bénéfices réels, voire sauver la France et l’Occident de leur suicide énergétique. Mais ils n’y ont même pas songé. Ce qu’ils se sont contentés de faire : prendre position face à un meurtre certes atroce, mais qui ne fait que les pousser vers une bougeotte médiatique, laquelle n’aboutira – et je peux prendre immédiatement les paris – à strictement aucune réforme, ni pénale, ni concernant l’immigration ou la remigration. Je suis sûr que même le nombre de visas étudiants accordés aux Algériens ne sera pas diminué. La droite française, je l’avais déjà écrit, ne songe jamais au bien réel de son peuple à long terme : ses membres sont choisis d’après la passivité de leur cerveau, normalisés par ces cadres académiques qui élèvent aussi leurs adversaires trotskistes. Ils confondent l’accès aux mandats et aux médias mainstream avec une quelconque capacité de réformer, ce dont ils sont complètement incapables, devenant de facto complices des destructeurs. Ce problème anthropologique ne peut être résolu par aucun système électoral, ainsi que je l’ai exprimé dans ma dernière interview suisse.
Commanditaires probables du meurtre de Lola
Cet assassinat ignoble tombe à pic sur les plans géopolitique, stratégique, financier et surtout sur le plan de la gestion des ressources énergétiques : toute cette droite au cerveau passif canalise ses efforts vers ce seul et unique fait-divers. J’ai bien quelques idées quant aux personnes qui auraient pu commander « la beurette à chicha » qui a commis ce féminicide parisien (ce terme n’est naturellement pas du tout utilisé dans les médias bien-pensants car ce féminicide précédé d’un viol a été perpétré par une femme). Mes recherches des deux dernières décennies m’ont amené à examiner les milieux franco-américano-israéliens sur lesquels une porte a été entrouverte avec l’affaire Jeffrey Epstein, ce grand amateur de la jeunesse américain, largement connu dans les milieux parisiens (dans son célèbre carnet se trouve une page intitulée « Massage Paris » https://www.gawker.com/here-is-pedophile-billionaire-jeffrey-epsteins-little-b-1681383992 ) et qui s’est si bien à propos suicidé dans sa cellule aux États-Unis.
J’ai côtoyé, notamment via mon enseignement à la Sorbonne, des grands détraqués liés à la prostitution infantile internationale travaillant étroitement avec des psychiatres qui repéraient pour eux des malades mentaux susceptibles de passer à l’acte et d’être jugés irresponsables de leurs meurtres pourtant des plus atroces. C’est ma thèse de doctorat sur Vladimir Nabokov qui m’avait poussé vers ce type d’enquête et notamment quand il s’agissait de retracer la genèse de la rédaction de ce roman excessivement connu, Lolita, plébiscité alors que tout l’establishment parisien signait des pétitions pour pouvoir s’accoupler avec des enfants et que l’on se préparait à submerger la France sous une immigration de préférence masculine d’Afrique et d’Asie (ce phénomène a conduit à une sexualisation précoce des fillettes européennes tout en faisant revoir à la hausse l’âge légal du mariage pour les femmes, car, ne l’oublions pas, en 2005 encore, une Française pouvait se marier dès l’âge de 15 ans et cet âge légal imposé par le Code Napoléon correspondait à une sexualisation ordinaire d’une femme celte ou germanique ; on a repoussé cet âge légal à 18 ans, mais en favorisant des pratiques sexuelles chez les fillettes dès l’âge de 12 ans environ).
J’ai passé des décennies à analyser les démarches vraiment mafieuses visant à faire en sorte que Lolita, interdit de publication dans les États-Unis encore traditionalistes, puisse voir le jour chez Olympia Press à Paris qui appartenait à un certain Maurice Kahane. C’était d’ailleurs, comme par hasard, son frère qui avait effectué des traductions graphomanes de Nabokov vers le français[1] : le business de cette famille était bien connu dans la pègre parisienne, car elle investissait l’argent gagné avec la vente de Lolita dans un endroit interlope, la célèbre boîte parisienne La Grande Séverine, qui a été fermée en octobre 1964 comme lieu clandestin d’atteinte aux mœurs : le promoteur de la pédomanie en France, Kahane, l’avait fait tourner sans licence. C’est la décision du préfet de l’époque, monsieur Maurice Papon, qui a fait rétablir l’ordre et l’on dit que sa condamnation tardive pour son action durant la Seconde Guerre mondiale n’est pas sans rapport avec une vengeance d’une certaine pègre parisienne pornocrate.
J’ai écrit moi-même une thèse de doctorat sur Nabokov, dissertation soutenue avec le professeur Patrick Quillier, à l’Université de Nice-Sophia Antipolis, en 2011 : http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/doctorat012.pdf. Dans cette thèse grandement appréciée par mes collègues universitaires de l’époque (http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/livry-tassel-1.pdf), j’ai essayé de retracer quelques éléments traditionalistes de l’œuvre de Nabokov, ce qui m’a valu une campagne diffamatoire, la perte de ma carrière, puis le plagiat de ma thèse de doctorat au vu et au su de toute la communauté « scientifique », ces fonctionnaires du ministère de l’Enseignement supérieur qui, chaque année, passent sous silence le plagiat de ce travail (https://www.theses.fr/2011NICE2011), pourtant applaudi au moment de sa soutenance (je fais en effet exprès de présenter mon dossier au Conseil national des universités françaises (CNU) en rendant compte de l’action des plagiaires : http://anatoly-livry.e-monsite.com/pages/plagiat-de-la-these-ddoctorat-d-anatoly-livry-nabokov-et-nietzsche/). Or, le piètre ouvrage de Nabokov qu’est le roman Lolita[2] est devenu une espèce de bible pour les pervers tout-puissants, comme le milliardaire Epstein (qui avait baptisé son jet privé, un Boeing 727, « Lolita express ») et ceux qui l’ont fait taire. Pourtant, il faut le savoir : de nombreux professeurs qui enseignent Nabokov participent à des soirées où des pédomaniaques d’Occident et d’Israël se réunissent. Ils prospectent notamment lors des championnats juniors de gymnastique, de natation, d’athlétisme ou de danse où des enfants, français notamment, s’exposent.
Ce sont souvent des cercles de pervers fortunés qui sont en lien avec nos hommes politiques : ils fréquentent les mêmes lieux de loisirs. Bien souvent d’ailleurs, la réalité dépasse la fiction : le prénom de la victime du roman Lolita est Dolorès, ce qui indique la souffrance à laquelle elle est prédestinée. Et l’un des prénoms par lesquels cette Dolorès est appelée dans le roman est Lola : « She was Lola in slacks. »[3] Elle est d’ailleurs enlevée par un adulte pour une suite d’accouplements que Nabokov veut présenter comme consentis, précisément à l’âge de 12 ans. Comment ne pas continuer à tirer ce fil d’Ariane : au choix de la martyre parisienne, cette Lola de 12 ans, que l’on veut présenter comme une simple victime du hasard, a pu prendre part toute une équipe hétéroclite de grands pervers qui auraient visité les championnats d’aérobic de France auxquels Lola Daviet a participé. Une fois la victime sacrificielle désignée d’après les canons de ces sectes qui côtoient les sommets du pouvoir de nos États, il suffisait de mener à elle une des psychopathes du coin. La ville de Paris, et surtout ses quartiers enrichis par le multiculturalisme, sont un cloaque où grouillent des psychotiques que la médecine française, digne héritière de Pasteur et de Charcot, parvient parfaitement à recenser, mais jamais à guérir. Je souligne à ce propos que déjà au niveau du ministère de l’Intérieur a été diffusé un mensonge lié à la meurtrière présumée : Darmanin, qui est la personne en France la mieux renseignée, au moins officiellement…, avait déclaré, au début de l’affaire, la meurtrière inconnue des services de police (« elle n’était pas connue des services de police » : https://www.bfmtv.com/politique/on-fait-au-mieux-gerald-darmanin-repond-aux-critiques-apres-le-meurtre-de-lola_AN-202210200874.html), alors qu’une main courante avait été déposée contre elle à Paris même[4]. Je suis quasi persuadé que cette psychotique a été repérée à la suite de la mort de sa mère à Paris et signalée par des centres pédomaniaques comme capable de commettre les actes les plus atroces – car les meurtres commis par des femmes sont réputés pour leur sauvagerie glaciale.
Maintenant que le scandale médiatique a éclaté et que la droite française la plus crétine a sonné l’hallali, les organisateurs détraqués de ce meurtre fêtent leur victoire sans doute en citant cette Lolita de Nabokov qu’ils ont fait revivre – interlude dans leur entreprise de massacrer cet Occident trahi par la droite française dégénérée. Et ils ont raison de fêter leur supériorité car jamais ils ne seront menacés ni par l’enquête pénale ni par les dignes défenseurs de la France dont regorgent les droites françaises.
Dr Anatoly Livry, Altdorf, Suisse
[1] Cf. Thèse de doctorat de Anatoly Livry, Nietzsche et Nabokov, ANRT, Lille, 2014, 332 pages, ISBN : 978-272-9-58538-9, http://www.diffusiontheses.fr/66596-these-de-livry–anatoly-.html.
[2] Le roman Lolita de Vladimir Nabokov est lui-même un plagiat honteux : l’idée pédomaniaque a été formée par Heinz von Lichberg en 1916 dans son célèbre recueil Die verfluchte Gioconda composé de 15 nouvelles ; la neuvième est intitulée « Lolita » et retrace exactement la même histoire que celle développée par Nabokov qui a vécu à Berlin entre 1923 et 1937. Il n’a pas pu méconnaître l’œuvre du célébrissime journaliste de ce Völkischer Beobachter promu par le parti national-socialiste allemand dès 1933. Nabokov a donc emprunté cette Lolita national-socialiste allemande pour l’emporter aux États-Unis où il a ouvertement plagié l’idée allemande en anglais, volant jusqu’au titre de son roman. Avant d’être une des spécialités des « spécialistes » sur Nabokov, le plagiat était celle de leur gagne-pain.
[3] Vladimir Nabokov, Lolita, Paris, Olympia Press, 1955, p. 11.
[4] « Meurtre de Lola: « Je vais revenir, vous ne savez pas de quoi je suis capable »… Dabhia B., meurtrière présumée, avait agressé deux femmes en 2019 », L’Indépendant, le 25 octobre 2022, https://www.lindependant.fr/2022/10/25/meurtre-de-lola-je-vais-revenir-vous-ne-savez-pas-de-quoi-je-suis-capable-dabhia-b-meurtriere-presumee-avait-agresse-deux-femmes-en-2019-10762278.php.