
Selon lui, les méthodes employées – contrôle judiciaire, disqualification médiatique, pression fiscale – relèvent d’un « délit d’opinion » déguisé. « Ils nous empêchent de parler, de bouger, de respirer », assène-t-il, comparant l’administration à une secte assoiffée de pouvoir. Thierry appelle à une résistance collective, prônant l’autonomie locale face à ce qu’il perçoit comme un « suicide sociétal ». Une critique radicale, à mi-chemin entre pamphlet politique et cri d’alarme.
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