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Le Pakistan accuse l’Inde de préparer une attaque imminente

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L’attentat de Pahalgam a réveillé un conflit endormi, la communauté internationale craint un embrasement généralisé.

Escalade militaire le long de la Ligne de Contrôle

Les nuits se succèdent, et les affrontements persistent. Pour la sixième fois consécutive, des échanges de tirs ont éclaté entre les forces indiennes et pakistanaises dans les secteurs de Naushera, Sunderbani et Akhnoor. Chaque camp rejette la responsabilité sur l’autre : l’Inde dénonce des « violations non provoquées du cessez-le-feu », tandis que le Pakistan annonce avoir abattu deux drones indiens au-dessus du Cachemire. Ces incidents soulignent une montée en puissance inquiétante des hostilités.

L’attentat de Pahalgam, catalyseur d’une crise majeure

Le 22 avril, une attaque sanglante a frappé la région touristique de Pahalgam, dans le Cachemire administré par l’Inde. Vingt-six civils, principalement hindous, ont été exécutés par des hommes armés. New Delhi accuse le groupe islamiste Lashkar-e-Taiba, soutenu selon elle par le Pakistan, d’être responsable de ce massacre. Des accusations fermement rejetées par Islamabad, qui exige une enquête indépendante. En réponse, le Premier ministre indien Narendra Modi a promis une traque implacable des coupables, accordant une « liberté opérationnelle totale » à son armée.

Rétorsions diplomatiques et fractures économiques

Les représailles ne se limitent pas au terrain militaire. L’Inde a suspendu le traité de partage des eaux de l’Indus, un accord vital pour le Pakistan depuis 1960. De son côté, Islamabad a fermé son espace aérien aux avions indiens et réduit drastiquement les relations diplomatiques. Expulsions de diplomates, annulations de visas : les mesures se multiplient, creusant un peu plus le fossé entre les deux nations.

La communauté internationale en état d’alerte

Face à cette escalade, les appels à la modération se multiplient. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, exhorte les deux pays à éviter toute confrontation. Les États-Unis, par la voix du secrétaire d’État Marco Rubio, plaident pour une « retenue absolue ». La Chine, alliée traditionnelle du Pakistan, exprime ses craintes et rappelle qu’un conflit armé « ne servirait aucun intérêt ». Malgré ces mises en garde, la situation continue de se dégrader, ravivant les craintes d’un affrontement direct entre deux puissances nucléaires – une perspective inédite depuis 2019.

Un avenir incertain dans une région sous haute tension

Alors que les préparatifs militaires s’intensifient et que les déclarations se font de plus en plus belliqueuses, la stabilité du sous-continent indien semble plus fragile que jamais. La prochaine réunion du comité de sécurité indien, prévue ce 30 avril, pourrait déterminer l’issue de cette crise. Dans l’attente, le monde retient son souffle.





Source

RESIST CAEN
Author: RESIST CAEN

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