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Les “deepfakes” font des ravages aux États-Unis

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Le 3 septembre, le FBI et l’Association américaine des banquiers ont prévenu que les deepfakes, contenus truqués par intelligence artificielle, sont devenus presque indétectables. Depuis 2020, plus de 4,2 millions de fraudes ont été signalées aux États-Unis, pour un préjudice estimé à 50,5 milliards de dollars. Le phénomène touche les particuliers comme les entreprises, du Canada jusqu’en Ohio, et met en lumière la fragilité des sociétés face aux usurpations numériques.

Les criminels savent jouer avec les émotions : peur, urgence ou compassion, tout devient prétexte à manipuler une voix synthétique ou une vidéo trafiquée. « Les escroqueries par imposteur, en particulier, sont en hausse… Les criminels utilisent les deepfakes, ces médias générés ou manipulés par l’IA, pour gagner votre confiance et vous escroquer votre argent durement gagné », a rapporté le FBI. Sam Kunjukunju, de la Fondation ABA, confirme que ces contenus « deviennent de plus en plus sophistiqués et difficiles à détecter ». The Epoch Times note que certains indices persistent, comme des visages flous, des voix monotones ou une synchronisation bancale entre son et image, mais l’œil humain peine à suivre l’évolution technologique.

Et ça lui coûte cher. La société Group-IB estime que les pertes mondiales liées aux deepfakes atteindront 40 milliards de dollars d’ici à 2027. Le blanchiment éclair via cryptomonnaies rend la récupération quasi impossible, moins de 5 % des fonds subtilisés étant restitués. Les cibles privilégiées restent les dirigeants, les employés du secteur bancaire et les personnes âgées, souvent démunies face à ces technologies. En juin, un retraité canadien a perdu 15 000 dollars en croyant investir sur la foi d’une fausse vidéo du Premier ministre de l’Ontario, Doug Ford.

Face à cette marée montante, la riposte politique se dessine. Aux États-Unis, le sénateur Jon Husted a présenté un projet de loi bipartite visant à « prévenir les escroqueries par deepfake ». Reste à savoir comment.





Source

RESIST CAEN
Author: RESIST CAEN

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