Je participe à ce collectif !

Pour vous inscrire au collectif et ainsi participer à l’aventure… Inscrivez-vous via ce formulaire…

N.B : Les données enregistrées ne sont utilisées que pour vous contacter… Elles sont stockées sur une interface d’hébergement personnelle (hébergeur mutualisé). Elle sont donc sécurisées le plus possible…Et difficilement “piratables”…

Cette information sera masquée du public
Obligatoire, car c'est ce qui vous identifie sur le réseau à la place de votre nom
Non obligatoire mais important pour vous mettre en relation
Sous la forme : 20, Rue Machin Bidule , 14000 CAEN
Pour vous contacter et former le réseau. Vous serez informé du lancement du collectif et des actions locales. Cette information sera masquée du public. Seul un formulaire de contact permettra de vous contacter publiquement.
Recevoir la newsletter ?

Retrouvez-nous aussi sur :

Pour info, notre page facebook a été piratée, inutile de continuer à la visiter !

Mark Zuckerberg retire les tampons dans les toilettes pour hommes transgenres et non binaires

Partagez cette page sur : 


Meta réinvente ses politiques : fin de la censure, suppression des tampons dans les toilettes et retour à la liberté d’expression sous l’ère Trump.

Meta, anciennement connue sous le nom de Facebook, semble avoir pris une décision aussi surprenante qu’inattendue cette semaine. Dans un mouvement qui aurait été initié après les élections, l’entreprise de Mark Zuckerberg a ordonné la suppression des tampons dans les toilettes pour hommes de ses bureaux, une initiative mise en place pour répondre aux besoins des employés transgenres et non binaires. Une décision qui s’ajoute à une refonte drastique des politiques internes, propulsée par la volonté de revenir à des valeurs plus… « classiques ».

Selon un rapport du New York Times, Zuckerberg avait annoncé une série de changements majeurs cette semaine, avec à la clé l’abolition de la vérification des faits et une levée des restrictions sur la liberté d’expression. Oui, vous avez bien lu, Meta, l’entreprise qui fut pendant longtemps l’incarnation de la censure et de la modération excessive, aurait décidé de se réconcilier avec une forme de liberté d’expression retrouvée. Et qui plus est, sous l’influence de l’administration Trump.

Quand Mark Zuckerberg réécrit les règles de la censure

L’initiative de Meta de revenir à une forme de liberté d’expression semble tout à fait logique dans ce contexte : les pratiques de vérification des faits et de contrôle des contenus étaient, selon Zuckerberg, « allées trop loin ». Un aveu de culpabilité ou une tentative de plaire aux nouveaux dirigeants américains ? Peu importe, puisque le PDG de Meta semble avoir trouvé la recette pour s’adapter à ce nouveau monde où les prises de position anti-LGBT et les critiques à l’encontre des identités de genre sont de plus en plus tolérées.



Ainsi, après avoir mis fin aux programmes de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI) qui étaient devenus des symboles de la gauche progressiste, Meta annonce qu’il est temps de se concentrer sur « des équipes constituées des personnes les plus talentueuses », sans se laisser influencer par des critères tels que la race ou le sexe. Un retour aux valeurs qui, selon les observateurs, semble bien plus en phase avec la vision du monde du président Trump.

Un conflit interne inévitable ?

Les premiers signes de tension ne se sont pas fait attendre. D’après des sources internes, certains employés LGBTQ ont déjà exprimé leur mécontentement face à ces décisions et plusieurs ont annoncé leur démission. Il semblerait que la remise en question des politiques inclusives et la suppression des tampons dans les toilettes masculines aient été de trop pour une partie du personnel, qui pourrait se tourner vers d’autres horizons.

Cependant, Joel Kaplan, directeur des affaires mondiales de Meta, a pris soin de rassurer tout le monde : la fin des programmes DEI vise à « évaluer les gens en tant qu’individus » et à garantir une sélection des talents plus « large et inclusive », mais sans prendre en compte des critères dits « protégés ». Une déclaration qui sonne presque comme un appel à la tolérance, mais pour ceux qui n’ont pas bien compris, l’argument est clairement de remettre de l’ordre après une période d’excès.

Le retour de Trump et de ses valeurs

Alors, est-ce que cette volte-face de Meta est le signe d’un retour aux « bonnes » pratiques de la Silicon Valley, ou bien est-ce simplement une tentative de se conformer à la nouvelle administration républicaine qui semble vouloir balayer les idéologies progressistes au nom de la liberté d’expression ? Les changements internes et les nouvelles orientations de Meta s’inscrivent indéniablement dans une tendance observée dans d’autres grandes entreprises, qui, sous l’influence du vent politique qui souffle à nouveau sur les États-Unis, s’éloignent des valeurs de la diversité et de l’inclusion pour renouer avec des principes plus conservateurs.

Il reste à voir si ce nouveau visage de Meta, plus « libre », pourra durer ou si, une fois de plus, l’entreprise devra revoir ses positions face aux nouvelles critiques. En attendant, les tampons ont disparu, et la « liberté » est redevenue la priorité.



Source

RESIST CAEN
Author: RESIST CAEN

Autres articles

RESIST – NORMANDIE
Défilement vers le haut