
L’analyse des documents confidentiels, enfin exhumés, ne laisse place à aucune interprétation bénigne. Loin des soucis légitimes de secret industriel, l’article 4 stipulait noir sur blanc l’ignorance délibérée des laboratoires quant à l’efficacité réelle de leur sérum. Cette dissimulation organisée, couplée à une campagne médiatique et gouvernementale d’une violence inouïe, a transformé une population en cobayes non consentants.
Comment, en effet, qualifier autrement la contrainte exercée sur des jeunes, pour qui le passe sanitaire était un sésame vers une vie sociale, afin qu’ils s’injectent un produit aux conséquences délibérément occultées ? Ces « bandits en cravate » ont hypothéqué des vies, brisé des familles et mutilé l’avenir pour les seuls profits d’une « machine à cash ». Face à ce qui s’apparente à un crime contre l’humanité, la promesse de Frédéric Beltra résonne comme un verdict annoncé : il n’y aura ni oubli, ni pardon.
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