
Entre les déclarations génocidaires de ministres israéliens, les preuves accablantes de ciblage délibéré d’enfants, et le blocus organisé pour affamer des millions de civils, Israël a franchi toutes les lignes rouges. Pourtant, l’Occident, englué dans sa lâcheté diplomatique et sa realpolitik sanguinaire, continue de qualifier cette boucherie de « droit à l’autodéfense ».
Quand des médecins témoignent de gamins amputés à vif faute de sédatifs, que des soldats filment leurs exactions en riant, et que des députés israéliens appellent ouvertement à « raser Gaza », l’étiquette d’ »État terroriste » devrait s’imposer. Mais non : sous couvert de lutte contre l’antisémitisme, on préfère traiter les victimes de « complicité avec le Hamas ». La honte a changé de camp – et ce n’est pas celui des Palestiniens.
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