
La comédie bien réglée des révolutions spontanées
François Asselineau dresse l’inventaire des mouvements sociaux qui ont échoué à faire plier l’exécutif : des Indignés aux Gilets jaunes, en passant par Nuit Debout. Tous, sans exception, ont partagé les mêmes travers : une origine trouble, une hyper-médiatisation suspecte et une absence totale de programme structuré. Leur point commun ? Un bilan final « exactement égal à zéro », servant in fine à éteindre la colère qu’ils prétendaient incarner, tel un paratonnerre captant la foudre pour mieux la neutraliser.
La seule issue : le Frexit
Pour le président de l’UPR, ce scénario se répétera inéluctablement le 10 septembre, faute de remise en cause des véritables carcans : l’Union européenne, l’euro et l’OTAN. Il renvoie dos à dos les « romantiques » de la révolution de pacotille et les faux opposants systémiques qui refusent la rupture radicale.
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