De plus en plus d’études commencent à remettre en cause les effets toxiques des vaccins, les inflammations cardiaques (myocardites) figurent parmi les cas les plus mis en avant. Afin de ne pas remettre en cause le « sacro-saint rapport bénéfice-risque » que les autorités sanitaires avancent systématiquement pour justifier les injections Covid. L’Agence européenne des médicaments (EMA) va organiser un atelier virtuel durant lequel, les connaissances concernant le Covid-19 et ses effets secondaires, notamment la myocardite, seront passées en revue.

Dernièrement, l’OMS a reconnu les effets indésirables des vaccins, mais pour cette dernière, les problèmes cardiaques comme les myocardites provoquées par les vaccins à ARNm , sont des cas rares et légers. Pourtant, une étude , publiée dans Nature en juin 2022, a montré que le risque de myocardite et de péricardite augmente considérablement dès la 1ere injection des vaccins à ARNm Pfizer ou Moderna. Pour le moment, les risques à long terme liés à la myocardite post-vaccination ne sont pas encore connus. Le 16 janvier dernier, l’EMA a organisé un atelier virtuel afin d’examiner les connaissances actuelles sur l’épidémiologie, la manifestation clinique et la physiopathologie de la myocardite après la vaccination.
Une réunion visant à collecter plus d’informations sur le Covid-19
Pour l’EMA, les vaccins à ARNm Spikevax et Cominarty sont considérés comme les meilleurs outils de lutte contre le Covid-19. Durant la pandémie, les régulateurs internationaux ont autorisé leur utilisation. Ce sont d’ailleurs souvent ces derniers qui ont incité les populations à se faire vacciner et non les arguments sanitaires. Le vaccin à base de protéines Nuvaxovid a ensuite vu le jour. En Europe, l’EMA a également autorisé son utilisation.
S’abonner
Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.
Acheter l’article
Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.
