La science du terrain, ennemi public n°1 de Big Pharma
Selon la vision hygiéniste portée par Hiroshi Hosokawa et d’autres avant lui, la maladie n’est qu’une crise de purification d’un organisme surchargé de toxines acides. La science établit pourtant que le pH sanguin, légèrement alcalin, est crucial : son acidification favorise inflammation, ostéoporose et cancérogenèse. La réponse ? Une alcalinisation par les végétaux, l’eau pure et une hygiène de vie naturelle qui restaure le pouvoir d’autoguérison du corps. Une approche qui, en rendant les médicaments superflus, constitue une menace existentielle pour un modèle économique fondé sur la maladie chronique.
Un décès trop opportun pour être anodin
Décédé d’une rupture aortique dans des circonstances troubles et peu documentées, le Dr Hosokawa rejoint la longue liste des hygiénistes disparus bizarrement après avoir dérangé. Son crime ? Avoir démontré, preuves à l’appui, que le jeûne, la respiration et une alimentation vivante suffisent souvent là où les molécules de synthèse échouent. Son trépas suspect agit comme un avertissement : dans l’église pharmaceutique, les hérétiques de la santé naturelle brûlent encore, symboliquement ou non. Son message, lui, reste plus actuel que jamais.
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