L’information relayée par l’infirmière en chef du centre médical universitaire, un centre clinique de Ljubljana, en Slovénie, qui s’occupe de recevoir les flacons a été confirmée par Christian Perrone. Elle a démissionné, est sortie devant les caméras et a sorti des flacons de vaccins avec des liquides.
Elle a montré aux gens les codes figurant sur les flacons, où chacun porte des codes commençant par 1, 2 ou 3, puis a expliqué la signification de ces chiffres. Le numéro 1 est un placebo, une solution saline. Le numéro 2 est un flacon classique d’ARNm. Le numéro 3 est un bâtonnet d’ARN qui contient un gène oncologique, lié à l’adénovirus qui contribue au développement du cancer. Pour ces flacons avec le numéro 3, elle dit que les personnes qui l’ont reçu auront dans les 2 ans un cancer des tissus mous.
Présentation du projet d’action des personnes vaccinées qui seraient victimes d’extorsion de consentement. Celles et ceux qui veulent témoigner peuvent s’adresser à marko.demel@protonmail.com
Une autre initiative, Les essentiels, est de contacter un photographe (même amateur) qui prends des photos des soignants suspendus qui tiennent des pancartes avec les raisons de leur refus de se faire vacciner. Contacter https://lesessentiels.org/ il est possible de le faire dans chaque ville, en contactant un photographe professionnel ou amateur qui soit d’accord.
Une personne veut créer une action sur les contre-indications, car elle a constaté que quand un médecin lui a délivré un formulaire Cerfa avec contre-indications, après l’envoi, la réponse de la CPAM a été que la contre-indication ne rentre pas dans les lignes de l’HAS et elle lui a conseillé de s’adresser à nouveau à son médecin. Il paraît que l’EMA renvoie également à son médecin traitant.
Des récents études parlent des anticorps facilitants qui maintiennent la COVID, on s’attend à avoir une énorme vague de vaccinés malades.
Sur Nîmes il y a le projet du marathon des médecins du monde entier qui témoignent 24 non-stop, entre le 10/12 et le 11/12 de 18h à 18h pendant une à trois minutes. Marathon des docteurs, devrait être son nom. Si intéressé/e s’adresser par mail à Alex du Groupe Soignants. groupesoutiensoignants@protonmail.com
Pour les contre-indications il manque des cases sur le Cerfa, qu’il oblige à effectuer un choix restreint. Ils ont ajouté les maladies rares, mais c’est tout de même contraignant car c’est le centre des maladies rares qui doit délivrer son avis. Il est conseillé, en cas de contre-indications, allergies, d’écrire à l’EMA, qui elle en général renvoie vers le médecin traitant.
Avec un certificat de CI temporaire, sans le CERFA, rédigé par le médecin, une soignante témoigne que l’on peut entrer à l’hôpital ou un endroit où le passe est demandé sans soucis. Il n’y a pas de QR, car il paraît que le QR code n’est pas obligatoire, malgré qu’ils veuillent nous le faire croire. Ils n’ont pas demandé la certification de la part de la CPAM. https://www.ameli.fr/content/certificat-medical-de-contre-indication-la-vaccination-covid-19-s-3188
Les avocats font des zoom le mercredi à 17h et ils travaillent ensemble, c’est extraordinaire de voir leur implication. Il serait préférable de déplacer la réunion du mercredi au jeudi, car ils ne peuvent pas venir.
Pour éviter la liquidation judiciaire des professions libérales il y a une mesure de sauvegarde. Or un avocat a utilisé la procédure de sauvegarde pour proposer aux médecins de continuer à exercer pour éviter la liquidation judiciaire. Elle donne la possibilité d’exercer pendant 1 an et ½ – 2 ans. Pour les libéraux, un témoignage d’une libérale, qui indique d’avoir reçu un deuxième courrier avec demande des justificatifs sous peine d’intervention de l’Ordre et interdiction d’exercice. Sauf que l’avocat présent pendant la réunion, indique que c’est une procédure qui vient d’être inventée et que l’on ne sait pas si l’Ordre peut radier. Rien n’est indiqué. Il ne peut pas y avoir une interdiction d’exercer puisque le diplôme est toujours valable. Et qu’il n’y a pas de sanctions disciplinaires prévues par la loi actuelle. Certains Ordres qui ne savent pas quoi faire, ils ont mis des médecins dans la case « n’exerce pas », sans débats, sans aucune cohérence d’une région à l’autre. Pour les psychologues il est conseillé de changer l’intitulé du cabinet, en mettant « Coach diplômé en psychologie ». Les avocats se sentent comme des autistes qui essayent de communiquer dans un langage qui ne connaissent pas, ils connaissaient le droit jusqu’au 5 août 2021. Nous sommes en pleine dystopie. Dans un nouveau monde où les juges n’écoutent pas, ni les Lois, ni les Droits de l’Homme, et ils ont donné le pouvoir à l’Administration. Arianne Bilhal explique ce qu’il se passe. https://www.arianebilheran.com/post/le-moment-paranoiaque-vs-deferlement-totalitaire-face-a-la-dialectique-du-maitre-et-de-l-esclave
Il est important de continuer à parler, à rester dans la logique et il ne faut pas lâcher. Les avocats ont mis en place un groupe de bénévoles qui envoie systématiquement des courriers à tous les gens qui dépassent leurs attributions. Faire de l’information, faire du questionnement, « Vous dîtes ça, d’où cela sort ? ».
Parmi les actions juridiques en cours il y a une avocate qui propose une plainte pour extorsion, harcèlement morale à tous les professionnels qui dépendent de l’ARS, elle en a déposé une 50aine près du Procureur.
Dans un webinaire qu’une psychologue veut proposer, il serait question de comment reconnaître le harcèlement moral.
Les avocats considèrent de ne pas avoir de considération de la part des juges qui balayent d’un revers de main, d’une seule ligne, des recours bien faits et étayés. Ils ont décidé de monter d’un cran, car ils considèrent de se retrouver dans une situation inédite et que leur attitude de bon avocat, qui fait tout bien, ne sert plus à rien.
Il paraît qu’il existe un secteur 0, pour les médecins libéraux, qui permet d’examiner les patients en leur demandant, après le diagnostic, de contacter un médecin référent pour les prescriptions. Les malades ne seront pas remboursés. La suspension était envisagée au début pour 2 mois. Maintenant avec la prorogation du passe, la suspension n’a plus de terme. Il n’y a pas, dans le code de déontologie des médecins, la radiation prévue pour non vaccination contre la Covid-19. C’est prévu de ne pas être contagieux, mais l’immunité n’est même pas prise en considération. L’unique but est de se faire inoculer, la dystopie naît à cet endroit, car nous ne sommes plus dans une politique sanitaire, mais de contrôle.
Pour les Masseurs-kinésithérapeutes, il existe un article qui pourrait être utilisé pour reprendre une activité.
Article R4321-93
Création Décret n°2008-1135 du 3 novembre 2008 – art. 1
Le masseur-kinésithérapeute ne peut pas abandonner ses patients en cas de danger public.
L’association ESPER : Entraide Solidaire pour les Professionnels en Reconversion a mis en place une cagnotte solidaire pour soutenir les soignants en difficulté financière. Si besoin envoyer un mail à cagnottesolidaire@protonmail.com
À Angers il existe une assurance qui prends des praticiens non vaccinés, 144 €/annuel, c’est la Chambre des praticiens de santé durable.
Il serait question que les avocats prennent un dossier pilote de quelqu’un qui va attaquer les ARS de face. C’est un gros dossier et il faut trouver quelqu’un qui a le profil pour pouvoir tenir dans cette action.
La CNIL n’a pas aimé que les informations de la Sécu remontent vers les ARS, mais elle a cédé.
Il est question que la CPAM va donner toutes nos données de santé début janvier 2022, ils ont souscrit un contrat de migration et de sauvegarde vers un hub de Microsoft, qui est soumis à la Loi américaine, et il y a déjà un recours en cours, car ce n’est plus la Loi française qui est en vigueur concernant nos données. Nous pouvons interdire ce transfert en faisant cette manipulation : Vous vous rendez sur https://monespacesante.fr
-cliquer sur “activer mon espace santé”,
ensuite “Générer un nouveau code provisoire”
ensuite vous suivez les étapes
et choisir “je m’oppose à la création de mon espace santé”.
Sur le site AMELI. 3.4.5 Droits d’accès, de rectification et d’opposition au traitement Conformément à la règlementation relative à la protection des données en vigueur, l’assuré dispose d’un droit d’accès et de rectification et d’un droit d’opposition sur le traitement de ses données. En plus de la possibilité offerte à l’assuré de consulter l’ensemble des données contenues dans son compte, l’assuré peut exercer ses droits directement depuis son compte Ameli. En dehors du compte, ces droits s’exercent auprès du Directeur de sa caisse d’assurance maladie de rattachement en contactant le délégué à la protection des données (DPO). Le droit d’opposition s’exerce selon les mêmes modalités. Les personnes qui souhaitent s’opposer au traitement de leurs données dans le cadre du compte Ameli sont informées que l’exercice de ce droit a pour conséquence la résiliation de leur compte et le retour aux canaux de contacts traditionnels (accueil, papier) pour la gestion et le suivi de leurs démarches et plus largement,
https://www.lci.fr/sante/espace-de-sante-numerique-pour-tous-le-1er-janvier-2022-a-declare-olivier-veran-ministre-de-la-sante-2199360.html
Les recours individuels sont pour l’instant mis de côté car les avocats ont remarqué qu’après une dizaine de décisions favorables, les tribunaux ont changé leur fusil d’épaule.
Une orthophoniste en arrêt maladie, témoigne que la CPAM refuse de rembourser les honoraires de sa remplaçante et l’a placée sous le code triple 0, le code pour les non-vaccinés, et en cessation d’activité. La CPAM dit de ne pas avoir la main dessus et de s’adresser à l’ARS, qui la renvoie vers la CPAM.
