
Avec la froideur calculée d’un technocrate sûr de son fait, il a balayé d’un « Je vous rassure, ça n’arrivera pas » toute velléité de démission, renvoyant l’exaspération nationale aux calendes de 2027. Confronté aux rappels cinglants sur l’impuissance de son pouvoir aux ordres de Bruxelles et sur une élection due moins à son aura qu’au rejet de son adversaire, notre cher président ne fait pas le malin. Mais la messe est dite : le pays devra « prendre sur soi », contraint de subir jusqu’au bout l’entêtement d’un homme qui, effectivement, « ne lâchera rien », sauf les rênes du pouvoir réel qu’il a abandonnées à Ursula von der Leyen depuis longtemps.
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