Je participe à ce collectif !

Pour vous inscrire au collectif et ainsi participer à l’aventure… Inscrivez-vous via ce formulaire…

N.B : Les données enregistrées ne sont utilisées que pour vous contacter… Elles sont stockées sur une interface d’hébergement personnelle (hébergeur mutualisé). Elle sont donc sécurisées le plus possible…Et difficilement “piratables”…

Cette information sera masquée du public
Obligatoire, car c'est ce qui vous identifie sur le réseau à la place de votre nom
Non obligatoire mais important pour vous mettre en relation
Sous la forme : 20, Rue Machin Bidule , 14000 CAEN
Pour vous contacter et former le réseau. Vous serez informé du lancement du collectif et des actions locales. Cette information sera masquée du public. Seul un formulaire de contact permettra de vous contacter publiquement.
Recevoir la newsletter ?

Retrouvez-nous aussi sur :

William Saurin contraint de mettre 800 de ses salariés en chômage technique

Partagez cette page sur : 


Le groupe Cofigeo, connu pour ses marques « de qualité » William Saurin, Garbit et Zapetti, a été contraint de mettre quatre de ses huit sites de production en état d’alerte maximale et de les arrêter immédiatement pour un mois à compter de ce lundi 2 janvier. Cela cause un choc dans le monde industriel français et suscite des inquiétudes quant à l’avenir de l’économie du pays.


La raison de cette décision drastique est la flambée catastrophique des coûts de l’énergie, qui a atteint des sommets inédits en raison de la crise énergétique causée parles sanctions contre la Russie. Selon France Bleu, la facture d’énergie annuelle de Cofigeo a grimpé de façon alarmante, passant de 4 à 40 millions d’euros en l’espace de quelques mois, rendant la production de l’entreprise financièrement invivable.

Pour maintenir ses opérations, le géant de l’agroalimentaire doit chauffer l’eau à des températures extrêmes de plus de 100 °C afin de stériliser les conserves de ses produits. Une telle opération demande beaucoup d’énergie. Malheureusement, cette situation a contraint Cofigeo à mettre en place un plan d’urgence et à arrêter immédiatement la production de ses sites de Pouilly-sur-Serre, Capdenac-Gare, Lagny-sur-Marne et Camaret-sur-Aigues pour un mois. Cette fermeture touche 800 de ses 1 200 salariés, qui seront placés en chômage technique. Ils toucheront une indemnité  de 77 % de leur rémunération brute, ce qui représentera tout de même une perte de 170 euros pour le mois de janvier sur un salaire de base, selon Jocelyn Prophète, délégué CFDT.

La fermeture de ces sites pourrait se prolonger au-delà du mois de janvier, si la crise énergétique persiste, mettant en péril l’avenir de l’entreprise et de ses salariés. Cette crise est un véritable cauchemar pour l’industrie française et soulève de graves inquiétudes quant à l’avenir de l’économie du pays.

Le Média en 4-4-2.


Chères lectrices, chers lecteurs,

Nous ne recevons aucune aide de la part de l’État français ou de tout autre gouvernement étranger, nous ne sommes pas soutenus par la publicité et n’avons pas de mécène qui nous finance avec des millions. Nous sommes un média créé par le peuple et pour le peuple. Nous sommes une organisation indépendante. Notre seul objectif est de servir la communauté sans être influencés par des intérêts extérieurs.

Notre indépendance a un coût et nous sommes entièrement financés par les dons de personnes comme vous. Si vous appréciez notre travail et que vous souhaitez nous aider à continuer à offrir une information de qualité, nous vous invitons à faire un don.

Votre contribution, quelle que soit sa taille, nous permettra de couvrir des sujets importants qui peuvent parfois être ignorés par les médias traditionnels. Grâce à votre soutien, nous pourrons continuer à être un média créé par le peuple et pour le peuple.

Nous espérons sincèrement que vous serez en mesure de nous soutenir dans notre mission et nous vous remercions de tout cœur pour votre générosité.

Pour nous soutenir financièrement :

Le Média en 4-4-2.


 



Source

RESIST CAEN
Author: RESIST CAEN

Autres articles

RESIST – NORMANDIE
Défilement vers le haut